L’église Sainte-Aldegonde
L’église Sainte-Aldegonde, sur la Petite-Place de Saint-Omer, a été détruite à la Révolution, sauf son clocher, qui s’est effondré en 1800. Elle comprenait deux chapelles fondées par la famille de Wissocq, dont l’une, placée sous le vocable de Saint-Jean-Baptiste, abritait de nombreuses sépultures familiales. Seul vestige de cette ancienne église, la fontaine Sainte-Aldegonde existe encore sur la place Victor-Hugo.
Fondation de la chapelle Saint-Jean-Baptiste (1392)
La fondation de la chapelle Saint-Jean-Baptiste dans l’église paroissiale Sainte-Aldegonde, à Saint-Omer, remonte à l’année 1392, comme le montre l’acte suivant [1] :
Le 1er mai 1392. – Honorable personne sire Jehan de Wissoc fils Pierron, bourgeois et échevin en son temps de cette ville de Saint-Omer, paroissien de la dite église, « meu de dévotion », donne à l’église de Sainte-Aldegonde « trente et deux frans ou mil parpains à l’élection desdis marglisiers et querquemaistres » pour aider à la construction de la tour nouvelle de l’église. Il promet en outre de faire construire « à ses propres coux, frais et dépens une belle cappelle au bout de ledicte église vers nort à l’opposite des benois fons de l’église emprès les grans pilers qui soustiennent la dicte tour et par laquelle capelle et édefice lesdiz pilers seront entés, refaiz et machonniez pour soustenir ledit ouvrage de le grant tour », fondée à désservir perpétuellement pour le salut de son âme et de sa femme, et de tous ses enfants, et pourront pour le temps en perpétuité prendre et avoir en ladite chapelle leur lieu de sépulture. Confirmation par l’évêque de Thérouanne, le 2 juillet 1392.
Sépultures des Wissocq dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste
1. Jean de Wissocq
L’obituaire de l’église Sainte-Aldegonde mentionne, à la date du 23 janvier[2], la fondation de messes pour « noble homme Mr Jean de Wissoc, chevalier, seigneur de le Hollande, et doibt on faire le dit anniversaire en le capelle que le dit seigneur fist fonder en ledite Eglise, et autel lendemain pour Mme que fut se femme.[3] »
Il fut inhumé avec son épouse dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste, avec épitaphe [4] :
« Au milieu de la chapelle Saint-Jean, il y a un marbre très grand, élevé de trois à quatre pieds du pavé, sur lequel est une grande lame de cuivre qui représente un homme et une femme habillés à l’antique, en broderies et fourures d’hermines ; les souliers de l’homme sont pointus et s’appuient sur un lion couché, les pieds de la femme sont cachés par la jupe, ils sont aussi appuyés contre un lion couché dont on ne voit que la tête ; à l’entour est écrit : »
Wissocq Gherbode
« Seigneur Jean de Wissocq jadis chevalier seigneur de le Hollande, maitre d’hostel de Monseigneur le Duc de Bourgoigne comte de Flandre et d’Artois, fondeur de ceste capelle et de l’hospital St Jean assis en le paroiche St Sepulchre et en la liste-rue en ceste ville, qui trespassa l’an de grace nostre seigneur M cccc II le XXIIIe jour du mois de juillet. [23 juillet 1402] »
« Chy gist noble dame Marie de Gherbode jadis femme de noble homme Jean de Wissocq chevalier seigneur de le Hollande maitre d’hostel de Mgr le Duc de Bourgogne comte de Flandre, d’Artois, fonderesse avecque son dit feu seigneur et mary de le cappelle et lhospital de St Jehan dessus dit, qui trespassa en l’an de grace M iiii c XXIV le XXIIe jour de décembre. Priez Dieu pour son ame. [22 décembre 1424] »
D’après l’obituaire de l’église Sainte-Aldegonde, il semblerait que Vincent de Wissocq (fils de Jean), mort en 1400, avait aussi sa sépulture près de celle de son père : « Vincent de Wissocq, en le cappelle de Mr son père » (service le 6 juillet)[3].
2. Marie de Wissocq
Epitaphe de Marie de Wissocq, femme de Jacques Le May, dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste fondée par son frère [5] :
« Cy gist Maroye de Wissocq, vefve de feu Jacques le May, sœur de noble homme Jean de Wissocq jadis chevalier seigneur de La Hollande, fondeur de ceste capelle, qui trespassa en l’an de grace M IIIIc et quatre, le derain jour de march, après Pasques. Pries Dieu pour l’ame de ele.» [31 mars 1404]
3. Philippe de Wissocq
Philippe de Wissocq, écuyer, tué à la sanglante bataille d’Azincourt (25 octobre 1415), a été inhumé dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste avec cette épitaphe [6] :
« Cy devant gist Philippes de Wissocq escuier fils de feu Jacques de Wissocq fils aisné du fondeur de ceste chapelle, lequel Philippe trespassa à la bataille d’Azincourt l’an M iiiic et xv, le xxve jour d’octobre. Pries Dieu pour son ame. »
4. Jacques de Wissocq
Mort en 1418, Jacques de Wissocq a été inhumé auprès de ses parents dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste, avec l’épitaphe suivante [7] :
« [Jacques] de Wissocq, décédé le 25 août [1418], huissier d’armes de Mgr le duc de Bourgogne. »
Cette mention est en contradiction avec l’indication du Monument d’Huÿ, mais elle est corroborée par la généalogie manuscrite de la famille de Wissocq conservée à la Bibliothèque Nationale (manuscrit français n°29 536, Pièces Originales 3 052, généalogie 68 014, pièce n°4) :
« Jacques de Wissocq fils aisné dudit Jean mourut aussi dans le service actuel dudit duc de Bourgoigne comme l’enseigne sa pierre sepulchrale près de la tombe de son père mais l’ecriteau n’est pas entierement lisible pour ÿ reconnoitre sa charge. »
5. Claude de Wissocq
Claude de Wissocq, seigneur de Le Hollande, avait également sa sépulture dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste, avec cette épitaphe [8] :
« Cy devant gist le coer de Claude de Wissocq frere germain dudit Philippes qui trespassa à Paris l’an M iiiic et vinte chincq le viiie jour de septembre. [Pries Dieu pour s’ame.] »
6. Nicole de Wissocq
Nicole de Wissocq, mort le 22 juillet 1442, a été inhumé avec épitaphe dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste fondée par son père [9] :
« Cy dessoub cette tombe gist feu Noble Homme Nicole de Wissocq escuier, seigneur de Niuwerlet fils du fondeur de ceste chapelle, lequel fut au saint voiage de Jerusalem et trespassa mayeur de la ville de Saint-Omer l’an de grace M cccc XL II le XIIe jour de juillet. Priez Dieu pour son ame. »
7. Victor de Wissocq
Victor de Wissocq (mort le 13 décembre 1465) et son épouse, Jeanne de Leuvin (morte le 18 novembre 1477) ont été inhumés dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste avec épitaphe [10] :
« En la chapelle de St Jean-Baptiste fondée par les Wissocq, sur une peinture en la muraille prez de l’autel du costé de l’Évangile, avec cet éloge et armes : »
Wissocq Wissocq-Leuvin
« Cy devant gist Victor de Wissocq escuier descendu du fondeur de cette chapelle lequel trespassa le jour de Ste Luce XIIIe jour de decembre l’an M IIIIc LXV. [Pries Dieu pour son âme.] »
« Cy devant gist damle Jehenne de Leuvin femme dudit Victor de Wissocq laquelle trespassa le XVIIIe jour de novembre M IIIIc LXXVII. »
« L’écusson de Wissocq est penchant, le casque sur l’angle sinistre, le cimier un maure sans bras, lié d’argent et vettu de gueulles. »
8. Antoine de Wissocq
Antoine de Wissocq, mort le 1er août 1503, a été inhumé dans la chapelle Saint-Jean-Baptiste avec épitaphe [11] :
« Cy devant gist Antoine de Wissocq fils de Victor licenntié es loix et en decret, en son temps eschevin de la ville de Saint Aumer descendu du fondeur de ceste chappelle lequel trespassa le premier jour d’aoust l’an de grace mil chincq cens et trois. Priez Dieu pour son ame. »
La chapelle Sainte-Croix
David de Wissocq (mort en 1485), arrière-petit-fils de Jean, fit édifier la chapelle de Sainte-Croix dans l’église Sainte-Aldegonde [12] : « En la chapelle de Ste Croix en ladite église se voit un escusson de la représentation en pierre blanche de la résurrection de Notre Seigneur contenant les armes d’Audenfort avec timbre, et pour cimier un buste de maure tortillé d’argent vestu de gueulles et colleté d’hermine et deux lions d’or queues traînantes entre les pattes pour tenants, et est escrit : »
« In nomine Domini. Amen. Deffunct David de Wissocq, fils de Jehan et damoiselle Claire Wallart sa compaigne firent édifier ceste chapelle de Ste Croix et en icelle ont fondé une messe chacun jour de l’an à perpétuité etc… (suivent des fondations). Desquels deffuncts sont issus Messire Adrien de Wissocq prêtre chevalier de Jérusalem fondateur des repenties et damoiselle Marie de Wissocq alliée à Anthoine d’Audenfort escuier seigneur de Fontaines, laquelle damoiselle Marie a fondé en ladite chapelle douze messes du St Esprit qui se chantent les premiers mercredis des mois de l’an pour quatre livre seize sols par an. Lesquelz Anthoine et damoiselle Marie délaissèrent David d’Audenfort seigneur de Fontaines leur fils unicq qui fut allié à damoiselle Anthoine de Wissocq, et ordonna iceluy David XIIII L de rente pour l’advancement des mariages ou entrées en religion des povres bonnes filles de St-Omer. Et est descendu desdictz deffunctz David et damoiselle Anthoine de Wissocq, Anthoine d’Audenfort escuier sieur de Tatinghem Fontaines, etc. qui feissent et rédifièrent ceste chapelle à ses despens pour avoir été desmolie aux nouvelles ouvrages et relargissement de ceste église, et de laquelle chapelle ledit Anthoine comme aisné hoir descendant des sieurs dessus nommés estoit fondateur, et pour entretenir les fondations dessus dits etc. »
Travaux d’agrandissement de l’église (1756)
La chapelle Saint-Jean-Baptiste, dans laquelle plusieurs Wissocq avaient leur sépulture, a été déplacée au XVIIIe siècle à l’occasion de travaux d’agrandissement de l’église Sainte-Aldegonde, comme nous l’enseigne cette convention passée le 19 mars 1756 devant maître Vaneechout, notaire à Saint-Omer[13] :
« Pardevant les notaires royaux d’Artois résidens à Saint-Omer soussignés sont comparus personnellement haut et puissant seigneur Albert Philippes Joseph de Trazegnies, marquis de Trazegnies, comte de Fléchin et d’Armuydin, seigneur de Bomy, Norent, Boncourt et autres lieux, descendant de Jean de Wissocq seigneur de Le Hollande maître d’hôtel de Philippes le Hardy duc de Bourgogne et de dame Marie de Gherbode son épouse fondateurs de l’hôpital de Saint Jean Baptiste et de la chapelle dudit Saint Jean Baptiste en l’église paroissiale de Sainte-Aldegonde en cette ville d’une part, – me Jean Baptiste Maes prêtre curé de la ditte paroisse, me Guislain Alexandre Leleu avocat au parlement, Pierre Joseph François Gaillart écuier sieur de Blairville, Thomas Joseph Lenglart sieur d’Affringue avocat, et Joseph Etienne Marcotte de Noyelle tous marguilliers de la même paroisse d’autre part.
Sur les représentations faittes par les sieurs seconds comparants audit seigneur premier que la scituation actuelle de laditte chapelle de Saint Jean met obstacle au parachèvement de laditte église de Sainte-Aldegonde en ce qu’elle occupe totallement l’extrémité de la petite nef du côté nord [14] et empêche que cette nef soit mise au même état que celle du côté du midy, ce qui est nécessaire pour la forme régulière, à quoy le dit seigneur premier comparant représentant en qualité d’aîné de la famille desd. fondateurs de lad. chapelle de Saint Jean Baptiste a bien voulu consentir aux conditions suivantes que lesd. sieurs seconds comparants s’obligent d’exécuter en leurd. qualité aux dépens de la fabrique de laditte église :
1° lesdits sieurs seconds comparants en leurditte qualité cèdent et abandonnent audit seigneur premier comparant la chapelle nouvellement construite dans la petite nef du côté nord vis-à-vis celle des cinq plais du côté du midy ;
2° que ledit seigneur premier comparant conservera dans l’ancienne chapelle tant pour lui que pour ses parents descendants desdits fondateurs les mêmes droits de sépulture dont ils ont jouis jusqu’à présent et jouiront des mêmes droits de sépulture dans la nouvelle chapelle cy dessus cédée à l’exclusion de tous autres ;
3° qu’il sera posé un marbre dans le mur de l’ancienne chapelle du côté d’occident qui fera mention du droit de sépulture cy dessus exprimé, du consentement accordé par ledit seigneur premier comparant pour le changement de laditte chapelle, lequel marbre aura trois pieds de roy de longueur sur deux de largeur et un careau de marbre dans l’endroit ou est actuellement le mausolée avec une juscription et les armes de Wissocq ;
4° que lesdits sieurs seconds comparants feront construire aux dépens de laditte fabrique à côté de la nouvelle chapelle vers l’occident et vis-à-vis de l’autel un endroit où sera placé le mausolée cy dessus mentionné de façon qu’il y aura deux pieds un pouce de roy de distance entre le mur et ledit mausolée en tous sens, que ce même endroit sera vouté sur la hauteur de neuf pieds de roy sans l’intradoce de laditte voute qui sera surbaissé le plus qu’on pourra ;
5° que ledit mausolée sera placé de façon qu’il ne pourra entrer et avancer dans ladite chapelle qu’à six pouces en arrasant le pied droit de l’entrée de ladite chapelle ;
6° que l’endroit où sera placé ledit mausolée sera fermé d’une grille de fer à deux batants d’une hauteur et d’une façon descente et convenable fermée à la clef qui sera remise entre les mains dudit seigneur premier comparant ;
7° qu’il sera percé deux fenêtres dans l’endroit cy dessus parlé pour le mausolée, l’une du côté nord et l’autre du côté d’occident, lesquelles deux fenêtres seront grillées et vitrées et placées à la hauteur du ré de chaussée de quatre pieds et demi et auront chacune trois pieds et demi d’hauteur sur autant de largeur et partagée par un pilastre et chaque partie terminée en tiers points ;
8° que l’emplacement dudit mausolée et laditte chapelle seront pavés de careaux de pierres de marquise et enduis et blanchis ainsy que le reste de l’église. Laditte chapelle sera séparée par une balustrade fer de la hauteur de deux pieds et demi compris la marche qui sera de cinq pouces d’hauteur au plus ;
9° qu’il sera posé dans laditte chapelle un autel descent et convenable avec un tableau représentant le baptême de Jesus Christ, au côté droit de l’autel seront les armes des fondateurs et du côté gauche celles du seigneur premier comparant, il en sera de même sur les grilles fermant le mausolée et qu’il sera transporté dans la nouvelle chapelle les armoiries et épitaphes et autres ornements qui sont actuellement dans l’ancienne chapelle selon les judications qui seront faittes par la personne préposée par ledit seigneur premier comparant ;
10° que tous les ouvrages et nouvelles constructions cy dessus spécifiés ainsy que la démolition de l’ancienne chapelle, transport du mausolée et autres ornements et emplacement d’iceux dans laditte nouvelle chapelle et endroit cy dessus parlé se feront et seront achevés en dedans le courant de la présente année aux frais et dépens de laditte fabrique [etc.].
Ayant été convenu entre les parties et expressément reconnu par lesdits sieurs seconds comparants que ledit seigneur marquis de Trazegnies ses hoirs et ayant causes du chef de Wissocq continueront de jouir dans la nouvelle chapelle non seulement du droit de sépulture exclusif cy dessus mentionné mais encore de tous les droits prérogatives honneurs préséance et autres droits généralement quelconques qu’a fondateur de pareilles chapelles competent et appartiennent et dont ledit seigneur marquis de Trazegnies est en droit et possession [etc.].
Ainsy fait et passé à Saint-Omer le dix-neuf mars mil sept cent cinquante six. »
Destruction de l’église Sainte-Aldegonde (1800) [15]
« L’église de Sainte-Aldegonde, l’une des plus anciennes et des plus belles de Saint-Omer, a été ruinée pendant la révolution. Son élégant clocher qui avait trouvé grâce auprès des démolisseurs de cette époque, s’écroula par l’effet de la violence de l’ouragan du 18 brumaire (9 octobre 1800). Ce ne fut qu’en 1803, que disparurent entièrement les décombres de cet édifice (…) »
[1] Archives de Saint-Omer, Ms. 1389, Gros registre du greffe (1166-1778), folio 154 verso. Transcription partielle par A. Giry, dans le tome 15 des Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, 1876, page 129. [voir sur Gallica]
[2] Sic. Pourquoi cette date anniversaire du 23 janvier, alors que Jean de Wissocq est mort le 23 juillet ?
[3] Bulletins de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 1, 1853, p. 248 [voir sur Gallica] et p. 253 [voir sur Gallica].
[4] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, pp. 332-333. [voir sur Gallica]
[5] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 330. [voir sur Gallica]
[6] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 330. [voir sur Gallica]
[7] Epigraphie du département du Pas-de-Calais, tome XV, 1er fascicule, Partie V, page 339. L’écriteau, abîmé, a mal été retranscrit (prénom Sidrach au lieu de Jacques, et année 1416 au lieu de 1418).
[8] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 330. [voir sur Gallica]
[9] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 331. [voir sur Gallica]
[10] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 329. [voir sur Gallica]
[11] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, p. 331. [voir sur Gallica]
[12] Abbé O. Bled, Epigraphie ancienne de la ville de Saint-Omer, Mémoires de la Société des Antiquaires de la Morinie, tome 23, 1896, pp. 340-341. [voir sur Gallica]
[13] Archives de Saint-Omer, Gros des notaires, année 1756, convention n°38.
[14] On notera qu’il s’agit bien de l’emplacement désigné par l’acte de donation de 1392 : « au bout de ledicte église vers nort ».
[15] Abbé François-Joseph Parenty (chanoine d’Arras), Histoire de Sainte Angèle, fondatrice de l’Ordre de Sainte-Ursule, Arras, 1842, p. 222.